Le premier sexe, ou la grosse arnaque de la virilité
4 juin 2026 à 20h15

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- jeudi 4 juin à 20h15
Un spectacle fin, touchant, émouvant. Caustique, parfois aussi. On rit, on est ému, on sort touché et convaincu.
Un homme sur scène épaulé par divers membres de sa famille, ses camarades de classes, son psy, ses exs, ses futur(e)s, des collègues, des élèves, offre le fruit de sa réflexion. Le condensé d’une existence en sept tableaux et à peu près le double d’anecdotes fondatrices, convoquées pour interroger le vertige d’un genre et tout ce qu’il implique d’impératifs. L’auteur s’est un peu emballé avec cette grosse phrase, la suite sera plus simple. Promis. De l’enfance à l’âge adulte, de l’oppression à l’émancipation, de la virilité abusive à une masculinité singulière, Le Premier Sexe est un parcours. Et un partage.
« Aucun destin psychologique ne s’impose au mâle et à la femelle. » Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe
📸 ©Marie Charbonnier
Tout public à partir de 16 ans
🕬 ON EN PARLE
« Une réflexion salutaire terriblement drôle » Le Monde
« Intelligence folle, drôlerie rare, une révélation » Télérama | TTTT
« Inoubliable » La Provence
« Aussi drôle que piquant » L’Humanité
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DISTRIBUTION
Texte et jeu Mickaël Délis
Mise en scène Mickaël Délis et Vladimir Perrin
Collaboration artistique Elisa Erka, Clément Le Disquay et Elise Roth
Collaboration à l’écriture Chloé Larouchi
Lumières Jago Axworthy
Production : Reine Blanche Productions. Spectacle créé en 2022 par la Compagnie Passages
À partir de 16 ans
OFFRES & BONS PLANS
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*Dans la limite des places disponibles
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2 heures avant et 2 heures après l’événement, dans la limite des horaires de service. Présentez votre billet de théâtre en cas de contrôle. Hors Navette Aéroport, TER, tram-train et Parking Relais
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💯 INDISCRÉTION
Le spectacle est le 1er volet d’un triptyque qu’on a hâte de vous faire découvrir si le succès est au rdv pour celui-ci.
🕬 ON EN PARLE ENCORE
« Terriblement drôle sans être impudique, ce spectacle fait tout simplement du bien et permet une réflexion salutaire sur la déconstruction des stéréotypes de genre. » Le Monde
« Texte d’une intelligence folle, interprétation et mise en scène d’une beauté à couper le sou le (…) avec une sensibilité, une justesse et une drôlerie rares, le spectacle de Mickaël Délis est une révélation. » Rossana di Vincenzo – Télérama | TTTT
« Exceptionnel, inoubliable, drôle et bouleversant (…) Du grand art pour un moment de haute volée artistique. Mickaël Délis dans son jardin des…délices, c’est irrésistible. Vous avez dit chef d’œuvre ? » La Provence – Coup de Coeur La Provence festival OFF 2023
« Avec l’air de rien ou presque, le jeune frisé aux grands yeux bleus regarde en face une société patriarcale étouffante qui craque de tous les côtés. Et c’est bien vu. » L’Humanité
« Avec Le Premier Sexe ou la grosse arnaque de la virilité, Mickaël Délis offre un spectacle magistral qui fera date ainsi qu’un bouleversant message de liberté. » Toute la Culture
« Empruntant la structure de l’essai féministe de Simone de Beauvoir, Mickaël Délis interroge avec espièglerie, la masculinité aujourd’hui. Un seul-en-scène caustique, salvateur. Un spectacle nécessaire. » L’Oeil d’Olivier
« Spectacle joyeux et nécessaire qui mérite vraiment une standing ovation. Un spectacle à voir absolument. » Wanderer
« C’est fin, touchant, émouvant. Caustique, parfois aussi. On rit, on est ému, on sort touché et convaincu. » Blog Jenaiquunevie.com
« Ce spectacle, mis en scène par Vladimir Perrin et Mickaël Délis, est un petit joyau à découvrir d’urgence. » Sur les Planches
« Mickaël Délis, le bien nommé, déroule avec une impudeur malicieuse toute une vie de garçon ou défi nie comme telle dans un seul en scène très divertissant. » ARTCENA
« Avec Le Premier Sexe, seul en scène d’une intelligence mordante, Mickaël Délis déconstruit le mythe masculin de la virilité à tout prix. À voir au Théâtre de la Reine Blanche en ce moment, ce spectacle est une bouffée d’air. » Sceneweb
« Un spectacle fin, drôle et émouvant pour se libérer de l’arnaque de la virilité. » Culture SNES-FSU
« Mickaël Délis souhaitait dépasser les discours convenus sur le sexe fort. Il attrape le sujet par une touchante et délicieuse autobiographie qui nous a ravi. » Cult.news
« Rapide, drôle, capable de grossir les traits de ses personnages dans une jolie démesure, le comédien virevolte sur scène, avec pour seuls accessoires un tabouret, un tissu et une craie rose. » La Revue du Spectacle
« Un spectacle drôle et touchant, porté par la générosité d’un comédien seul en scène qui, jouant tous les rôles avec un humour décapant se révèle un prodige d’imagination. » La SouriScène 8 – émission De vive(s) voix
« Festival d’Avignon : deux « seuls en scène » du OFF autour de la famille ». RFI
« Mickaël Délis secoue le mâle qui est en nous, il interroge et s’amuse des codes de la masculinité. » Interview dans l’émission Paris Première
« Mickaël croit aux masculinités plurielles. Le Premier Sexe en est l’écrin joyeux. » Le Temps
« Auteur et acteur de talent (…) un superhéros d’une poignante humanité. » Le Nouvel Obs
« Un spectacle drôle et instructif. » La Terrasse
« Mickaël Délis l’alchimiste du verbe (…) une énergie bouillonnante. » Théâtre(s) le magazine de la vie théâtrale
« Un témoignage ni militant ni larmoyant (…) de l’énergie à revendre. » Le Figaro
« Un spectacle où les rires servent aussi à dénoncer l’homophobie ordinaire et à raconter le bonheur d’être soi. » La Croix
NOTE D’INTENTION
L’idée c’était donc d’offrir un écho au Deuxième Sexe, en s’inspirant à la fois de la démarche analytique et de la méthode de déconstruction des présupposés culturels – lesquels font un mélange peu honnête d’histoire et de nature. J’ai donc adopté le déroulé du Tome II de Simone de Beauvoir en empruntant les sept étapes de sa structure et en les déclinant sous le prisme masculin. Mais l’objectif n’était pas de produire un spectacle militant, parce que le militantisme c’est bien trop souvent la colère et qu’on n’est pas audible en pleine crise de larmes, de voix ou d’hystérie. De même, il n’était pas question de produire un objet purement théorique, regrettant que ce format rétrécisse à la fois le lectorat et l’auditoire. L’ambition était d’offrir une réflexion dans un format accessible et pop, vivant et inspirant, qui n’inhibe pas ceux qui désertent les bibliothèques ou rougissent de ne pas avoir les armes à priori pour décrypter des ouvrages philosophiques et sociologiques. Le projet est aussi de ne pas s’adresser qu’aux convaincus, à ceux qui savent, s’engagent, actent au quotidien pour une refonte systémique. Mais bien d’emmener toutes celles et ceux qui n’interrogent pas, par paresse ou lâcheté, par manque d’habitude critique ou ignorance, et qui ont pourtant tous les outils cognitifs et humanistes pour remettre en question un patriarcat qui (s’)épuise. Pour contourner l’écueil didactique et l’entre-soi intellectuel, j’ai choisi l’empirisme. Partir de moi. De mon parcours de petit garçon, d’adolescent, d’homme enfin. Questionner mon rapport à la virilité, à la masculinité, au corps, aux hommes, aux femmes. Et injecter à chaque sous-partie du format beauvoirien des expériences valant plus pour pistes de réflexion que pour arguments d’autorité. C’est à tout cela que j’ai voulu m’attaquer, épaulé par une armée de personnages qui m’ont aidé, guidé, violenté et qui m’ont tous fait avancer. Relayés par une bibliographie précieuse allant de Beauvoir à Despentes, de Lioger à Gazalé, de Rausch à Welzer Lang, sans oublier Héritier, Marx, Bourdieu, Gary, Duras, Woolf… Et sans oublier aussi de se marrer. Parce qu’on réfléchit toujours mieux en rigolant
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